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le Tour Du Maroc A Vélo
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31 août 2010

Mohammedia – Kénitra

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De la ville de  Mohammedia à la ville de Kénitra en passant par les villes de Rabat et Salé sur une distance de 107km.


Le dimanche 7 juillet, j'ai quitté Mohammedia direction Kénitra en passant par la capitale Rabat et la ville de Salé pour le compte de la dernière étape de ce voyage qui a commencé le  1er juillet   de la ville d'Essaouira, même si en réalité, j'avais pris la route depuis le village de Smimou 40 km au sud d'Essaouira.

J'avais fait ce faux départ seulement pour préparer ma sortie et regarder la finale de la coupe du monde 2002 au Japon chez des amis, car la transmission télévisée de ce mondial se faisait sur les deux chaînes nationales terrestres: 2M et RTM. Malheureusement à cette époque et aujourd'hui même où j'écris  ces lignes (le 20/08/2010), on n'arrivait pas à capter c'est deux chaînes par l'antenne dans le village de Smimou et ses régions, heureusement aujourd'hui il y a la parabole pour compenser ce défaut.

La route côtière entre Mohammedia et Rabat pendant cette première semaine du mois de juillet était presque vide, il n'y avait pas beaucoup de véhicules. Mais, durant le mois d'août, la circulation sur cette route  est toujours pleine par les vacanciers, car la plupart des plages pour les habitants de Rabat et ses environs se trouvaient sur cette ligne. En commençant par la plage de Tamara, la plage de Harhoura, la plage des Sables d'or, la plage de Skhirate et la plage de Bouzniqua. Il y avait aussi d'autres plages, mais personnellement je ne connaissais pas leurs noms.

Pour moi cette étape était l'étape la plus facile depuis mon départ d'Essaouira. La route était plate et roulante et il y avait des passages où la route était rectiligne comme s'ils l'avaient tracée avec un crayon et une règle et le bonus dans tout ça, c'était le vent qui était pour la première fois depuis mon départ dans mon dos. 

Quelle chance ce jour-là, le vent était devenu mon ami après avoir été mon grand ennemi, surtout entre Smimou et Safi, et si je faisais une comparaison entre cette dernière étape et l'étape première de Essaouira à Talmest, il n'y a pas photo comme on disait dans le largo des cyclistes quand il y avait un vainqueur dans un sprint massif. 

La première étape a été l'étape la plus courte de ce voyage avec seulement 63 km, mais elle a été la plus difficile à cause du vent; un vent du Nord-est très violent qui m'a obligé à changer le programme et faire un arrêt dans le village de Talmest au lieu du village de Sebt-des-Gzoula à 104 km d'Essaouira, qui a été programmé au début de mon voyage.

Mon programme, au début, avant mon départ de Smimou, était de faire ce voyage en cinq étapes en parcourant au moins 100 km par jour, car la distance entre Essaouira et Kénitra par la côte est de 480 km. Mais, avec un coup de vent de nord-est, tout le programme a été bouleversé surtout entre Essaouira et El Oualidia où les étapes de Talmest et Safi n'ont pas été programmées et la journée de repos à El Oualidia non plus, mais après deux journées très dures et la beauté du lieu m'ont poussé à prendre ce jour de repos.

(تجري الرياح بما لا تشتهي السفن)

Entre Bouzniqua et Skhirate la route traverse une région agricole, elle est connue par la culture des raisins et ça se voit sur le bord de la route avec des dizaines de champs. Le raisin de cette région est très connu dans tout le Royaume.

Près de Skhirate la route passe à côté du Palais-Royal qui a été le théâtre de la tentative de coup d'Etat de juillet 1971, menée  par des putschistes venus de l'Ecole militaire d'Ahermoumou dans le moyen Atlas. 

Vers midi je suis entré à Rabat la capitale du royaume, en prenant toujours la route près de l'océan, car je n'avais pas voulu passer par le centre-ville, où il y avait une circulation très intense.

Après avoir pris des photos souvenirs près de la mer et de la Kasba Des Oudaia, j'ai continué mon chemin en traversant le pont sur l'Oued Bou Regreg pour passer dans une autre ville; c'était la ville de Salé. Seulement 100 m (la longueur du pont) séparaient ces deux villes. C'est la distance la plus courte entre deux villes dans tout le Royaume et je demande: "Est-ce-qu'il existe une distance aussi courte entre deux villes dans le monde ? ".

A Salé j'ai fait une pause dans une pâtisserie où j'ai pris un gâteau et une limonade; après la pause, j'ai pris la route nationale N°1 pour aller à Kénitra.

Cette route entre Rabat et Kénitra est parmi les routes les plus dangereuses du Maroc, car elle est très remplie jour et nuit et le taux de mortalité sur cette route est très élevé. Pour moi ça, ce n'est pas une route, mais une piste de course pour tous types de véhicules surtout les poids lourds, les autocars et les grands taxis. Vraiment elle n'est pas faite pour les cyclistes et pour éviter tout problème, j'ai roulé la plupart du temps sur le bord de la route, car je n'avais pas le choix et en plus il n'y'avait que cette route et l'autoroute pour aller à Kénitra. 

Heureusement sur cette route, il y avait un peu de l'animation avec les vendeurs des produits de la poterie, car la ville de Salé, c'est comme la ville de Safi, elle est très célèbre dans ce domaine artisanal. Au bord de la route, il y avait aussi beaucoup de pépinières qui proposaient à leurs clients toutes sortes de plantes. 

A 5 km de Kénitra, j'ai téléphoné à mon Ali et il m'a dit qu'il allait m'attendre près du jardin qui se trouve à l'entrée de la ville, car la maison de ses parents n'est pas loin de ce lieu. 

Près du jardin j'ai trouvé mon ami, son frère et son neveu; ils m'avaient réservé  un accueil chaleureux et à cette occasion je dis merci à mon ami Ali pour l'accueil et pour l'encouragement qu'il me fait toujours et c'est lui qui m'a poussé à écrire le récit de mes voyages. Un jour il m'a dit "Tu dois mémoriser ça".

Heureusement maintenant avec l'Internet personne n'a besoin d'un éditeur ou bien qui que ce soit. Aujourd'hui chaque personne a la possibilité d'écrire ou bien de publier ses œuvres via Internet dans tous les domaines: art, sport, musique, cinéma, cuisine.... Sans la moindre contrainte ou obligation et sans censure non plus.

VIVE INTERNET, VIVE LA LIBERTE ET VIVE LE VELO !

Après avoir pris des photos souvenirs avec mon ami, je suis allé à notre maison, qui n'était pas loin de ce jardin où je l'ai rencontré. Quand je suis entré dans la maison, c'est ma petite sœur qui m'a vu la première et elle a crié à ma mère "Omi Aji Tchouvi Ouldk Moul Laakal". Traduction: "Maman vient voir ton sage de fils". Ma mère a regardé de l'escalier, elle m'a dit "Ala Selametk" (impossible de traduire ce mot) et elle n'a pas ajouté un autre mot, car il y avait à cet instant une invitée à la maison. Quelle chance ! Cette invitée m'a épargné un tas d'insultes et d'injures maternelles; car comme toutes les mamans, elle ne veut pas que son fils prenne de risque.  

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Mohmmedia le matin avant mon départ vers Kénitra.
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L'arrivée à Rabat près de l'océan atlantique.
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Derrière moi dans la photo la petite plage de Rabat-Salé à l'embouchure de  l'Oued Bou Regreg. 
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Près de La kasbah des Oudayas.
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La kasbah des Oudayas, une magnifique batisse militaire qui séduit par sa quiétude et sa lumière. Ici tout rappelle l'Andalousie, la couleur bleue, ...
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Bab el Mrisa (la porte du  petit port ) à Salé.
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C'était la seule fois depuis mon départ oùj'ai mis mon casque, car pour les autres étapes j'avais roulé sur des routes où il y a moins de circulation.
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Cet aigle, ils l'ont sculpté fort probablement pour les supporteurs du club de Raja de Casablanca et ils sont nombreux dans tout le Royaume.
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Des dizaines de vendeurs au bord de la route qui proposaient à leurs clients différents produits de la poterie surtout des produits pour la cuisine et la décoration.
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Le cheval est toujours présent dans tous les Arts au Maroc.
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Des dizaines de pépinières aussi au bord de la route qui ont donné un peu de  verdure à cette route envahie  à gauche et à droite par les habitats. 
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Mon ami Ali et son neveu à mon arrivée à Kénitra.   
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La fin de ce voyage qui a duré sept jours avec 520 km de pédalage de Smimou à kénitra en passant par des dizaines de villes et de  villages: Essaouira, Talmest, Sebt-des-Gzoula, Safi, El Oualidia, El Jadida, Azemmour, Casablanca, Mohammedia, Skhirate, Rabat, Salé et avec un jour de repos à El Oualidia. Et durant ce voyage j'ai rencontré plusieurs personnes sur la route où bien dans les cafés et les hôtels, car là où je passais ou bien je m'asseyais, il y avait toujours une personne qui me posait des questions " D'où viens-tu? Où vas-tu?" et de ces deux questions très simples, on passait à d'autres sujets très différents: sport, art, politique... 

Le voyage à vélo est extraordinaire, il y a de la souffrance, c'est vrai, il y a aussi du risque, mais il y a aussi de la joie, du plaisir, le fait de connaitre son endurance physique et mentale dans les difficultés, voir la beauté du paysage sur la route, rencontrer des gens de différentes cultures...

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31 août 2010

Azemmour –Mohammedia

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De la ville d'Azemmour à la ville de Mohammedia en passant par la ville de Casablanca sur une distance de 113km.

Le samedi 6 juillet, j'ai quitté Azemmour de bonne heure direction Casablanca par la côte. La route était presque vide; il n'y avait pas beaucoup de véhicules et pas de montées non plus. Une route plate et large. A mi-chemin j'ai téléphoné à mon ami de Boujaâd (voir l'étape de Zaouite ech Cheikh et l’étape de Tighassaline ) pour lui dire que j'étais en route vers Kénitra à vélo et par coïncidence il m'a dit qu'il se trouvait à Casablanca pour une visite familiale et il m'a dit de l'appeler à l'approche de Casablanca. A quelques kilomètres de la capitale économique du Maroc, je l'ai appelé et nous avons fixé un rendez-vous près de la mosquée Hassan II.

Près de la grande mosquée nous nous sommes rencontrés une deuxième fois sur la route de mes voyages à vélo malheureusement, cette fois mon ami n'avait pas son vélo avec de lui pour prendre la route avec moi, alors nous sommes restés près de la mosquée pour parler un peu et prendre des photos souvenir près de ce chef d'oeuvre de l'architecture arabo-musulmane. Après nous sommes allés dans un restaurant de poissons  près de Bab Marrakech pour prendre notre déjeuner: deux plats de poissons frits  avec de la salade et de la sauce tomate, j'ai mangé avec modération, car il me restait encore 27 km à parcourir pour aller à Mohammedia et en plus je n'avais pas envie de commettre une autre faute comme celle que j'avais faite sur la route entre Safi et El Oualidia où j'avais mangé beaucoup de sardines et en prenant la route, j'étais bloqué par un problème mécanique dans mon estomac et non pas à cause du vélo. Il faut éviter de prendre des poissons sur la route, mais comme c'est mon ami qui avait proposé de prendre ce repas, je n'avais pas pu lui refuser, car il aimait bien les poissons. 

Après le déjeuner nous nous sommes séparés, lui, il est parti chez sa famille et moi j'ai pris la route vers Mohammedia par la route côtière en passant par le quartier industriel d’Ain Sabaâ, car je n'avais pas envie de passer la nuit dans cette gigantesque ville qu’on doit  nommer « la maison noire » ou lieu de la maison blanche (casablanca), car elle est vraiment noire par la fumée des véhicules et des usines qui sont parfois près des habitats.

A Mohammedia je n'ai pas pu trouver une chambre vide dans un hôtel.  Il n'y avait pas beaucoup d'hôtels seulement trois d'après mes recherches (Je parle des hôtels sans étoiles). Alors, je suis allé dans la vieille ville où j'ai  trouvé une petite maison très modeste à louer pour le prix de 75 Dh la nuit.

Et comme dans la plupart de mes arrivées dans une ville: j'arrangeais mes affaires, je prenais une douche, je lavais mes sous-vêtements, je massais mes jambes et je me reposais un petit peu. Après le repos, je sortais pour visiter la ville, manger, s’approvisionner pour l’étape suivante et à la fin j'allais dans une mosquée pour faire la dernière prière de la journée (El Aichaâ) et je m'en retournais pour dormir.

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Chef d'oeuvre de l'architecture arabo-musulmane, la mosquée Hassan II est l'une des plus belles édifications religieuses à travers  le monde, elle est unique par son architecture et ses dimensions.

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Salut mon cher ami Redouane comment ça va ?
Est-ce-que tu es prêt pour un voyage à  Dakhala  l'été prochain Inchaâ Allah ?   
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C'est un grand plaisir pour moi d'être photographié près d'un monument aussi célèbre que  la mosquée Hassan II.     
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Au centre de Casablanca près de la célèbre place qu'on nomme ici "Korra Al Aredia".
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Au centre de Mohammedia toujours avec ma BMW.
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La ville de Mohammedia est très connue par son festival des fleures et par son club de football le "Chababe de Mohammedia"  et son très grand joueur Ahmed Faras. 
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Le nom de la ville de Mohammedia vient du père de l'indépendance, Mohammed V. Ce dernier la rebaptisa en son propre honneur le 25 juin 1960 quand on posa la première pierre de la raffinerie la SAMIR ... Fedala devint Mohammedia, la ville des fleurs, la ville des sports également, car elle est le lieu privilégié pour la pratique du surf comme du golf ou du football ! 

31 août 2010

El Oulidia – Azemmour

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De la ville d'El Oulidia à la ville d' Azemmour en passant par la ville d'El Jadida sur une distance de  95km.


Le vendredi 5 juillet, le réveil  était comme d'habitude à 6h, puis je suis sorti pour prendre mon petit déjeuner dans un café: du thé avec du pain et du fromage et vers 7h, la route.

En quittant El Oualidia, la route s'éloignait de la côte un peu sur un parcours en majeure partie plat;  sans la moindre difficulté  jusqu'à la ville d'Azemmour. Avec beaucoup de véhicules cette fois: des camions, des pick-ups et d'autres véhicules agricoles, et  le vent a été moins fort ce jour-là

La route d'El Oualidia jusqu'à la ville d'El Jadida traversait la partie agricole de Dokkala avec beaucoup de champs et des fermes. Les agriculteurs de cette partie cultivaient la tomate et la pastèque ça se voyait dans les camions de transport et au bord de la route avec les vendeurs au détail. Les uns proposaient à leurs clients des seaux de tomates et d'autres des pastèques sous des tentes.  La tomate de cette région est très appréciée et très connue dans tout le Royaume. La pastèque aussi, elle est connue sous le nom de « Dlah Dokkala » la pastèque de Dokkala, elle a une couleur vert olive très foncé, il y a aussi un autre légume très célèbre: c'est « Garaâ Dokkaliya » le potiron de Dokkala, je ne l'ai pas vu sur la route, peut-être  ce n'était pas la saison ou bien il se cultivait dans une autre partie de la région.

Une région 100 % agricole cela signifié pour un cycliste des routes 100 % plates, mais malheureusement avec des routes comme ça le paysage devient  monotone, car la beauté du paysage est dans les montées et les descentes avec des virages à gauche et à droite.

Vers 13 h, je suis rentré à El Jadida, la capitale de Dokkala. Une jolie ville dotée d'une superbe plage de sable fin et jouissant d'un climat extrêmement doux. El Jadida est l'une des stations balnéaires les plus agréables du Maroc. 

Dans un restaurant au centre-ville, j'ai pris mon déjeuner: un morceau de poitrine de  poule avec des pommes de terre et des olives. La pomme de terre c'est bien pour récupérer un peu, car elle est énergique et en plus elle est facilement digeste. Après le déjeuner je suis parti près de la plage où j'ai pris un jus d'orange et je me suis assis sur un banc en face de la mer. Le jus d'orange est très bon aussi pour les personnes qui font des efforts. 

En général sur la route il faut prendre de la nourriture légère et énergétique comme les biscuits, les barres de chocolat, des fruits comme la banane et pour les jus il faut prendre des jus où il y a de la vitamine C comme le jus d'orange et le jus de citron,et il faut éviter les jus de fruits qui sont mélangés au lait, car le lait est très lent sur la digestion, il y a aussi un élément essentiel pour n'importe quel sportif et surtout pour un cycliste, c'est l'eau. 

Pour l'eau, il faut le prendre sans modération et cette eau  doit être minérale, car l'eau du robinet il faut l'éviter. Un verre d'eau du robinet ça gonfle l'estomac.  Pour moi sur la route je buvais beaucoup d'eau presque 1L tous les 25 km et s'il faisait chaud, j'augmentais la dose et après la fin de l'étape je continuais à boire de l'eau sans arrêt.  Il y avait des étapes où je buvais plus de six bouteilles d'un litre et demi. Pour l'eau du robinet je l'utilisais seulement pour arroser mon visage, ma tête, mes mains et mes pieds et parfois s'il faisait chaud tout mon corps. 

Après la pause, j'ai fait une visite rapide dans le centre-ville et vers 15 h 30 min, j'ai pris la route vers Azemmour à 16 km d'El Jadida. En arrivant à Azemmour j'ai décidé de faire une visite éclaire à la plage d'El haouzia à 2 km seulement,  puis je suis retourné à la ville où j'ai pris une chambre dans un hôtel très modeste. Le prix de la chambre était 25 Dh la nuit avec douche.  

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Ces caisses des tomates vont être envoyées aux marchés de la ville de Rabat c'est un ouvrier qui m'a dit "91  c'est pour Rabat "
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Près de la plage d'El jadida, vraiment c'est une superbe plage très propre au moment de ma visite.
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Une très longue pause sur un banc en face de la mer. 
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Dans le centre-ville d'El jadida  avec ma BMW.
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Sur le sable de la plage d'El haouzia à 2 km de la ville d'Azemmour.
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Cette photo je l'ai achetée dans un studio. Très belle photo d'une très belle ville.   
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Et cette photo je l'ai prise un jour de l'autocar pendant mon voyage de  Kénitra vers Smimou.
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« Plus que toute autre cité marocaine, Azemmour, encore appelée par les Marocains Mouly Bou Chaib,du nom de son saint patron, a conservé l’aspect d’une ville maghrébine avec ses petites maisons blanches et cubiques et ses remparts ocres, dans le cadre magnifique de ses murailles et de ses jardins, où poussent le grenadier, le henné et l’olivier. Une exploitation, qui fut autrefois très prospère, celle de la pêche à l’alose, pratiquée au moment des crues de l’Oum er Rbia jusqu'à Sidi Said Maachou, a été compromise par la construction du barrage. Jouissant d’un climat très doux été comme hiver, Azemmour pourrait devenir une agréable station climatique, mais son équipement hôtelier est encore inexistant.»

Cet article je l’ai trouvé dans un livre français sur le Maroc datant de 1975 et nous sommes en 2010 et la ville d’Azemmour n’a pas pu devenir une agréable station climatique. Son équipement hôtelier est toujours inexistant et pour l’Alose (Chabel), il a disparu définitivement de la rivière à cause de la pêche intensive, les barrages et de la pollution. Vraiment c’est une jolie petite ville avec des atouts touristiques fabuleux et elle mérite d’être parmi les plus belles stations balnéaires du Royaume.


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