Voyage dans la région de Chiadma entre Essaouira et Safi.
J'ai décidé de faire cette sortie d'Essaouira vers Safi par la route côtière puis le retour vers Essaouira par la route nationale N° 1 pendant les vacances de la nouvelle année 2002; nous avons trois jours de repos. Sur le papier c'était une sortie facile, avec deux étapes, mais sur la route c'était autre chose.
1er jour : Essaouira – Souira kédima plus de 92 km.
Je n'avais pas pu connaître la distance exacte entre Essaouira et Safi par la route côtière, car la route est nouvelle et cette ignorance allait me coûter cher sur la fin de l'étape, mais elle allait m'être très utile dans mes prochaines sorties, car depuis cette étape si j'ai des doutes sur une route, je vais dans la station de grands taxis pour questionner les chauffeurs sur l'état de la route et je leur demande "Est-ce qu'il y a des cafés et des épiceries au bord de la route ? Est-ce qu'il y a des montées ou non ? Comment est l'état de la route ? ".
C'était la seule montée durant cette étape.
Je suis parti la veille de ma sortie de Smimou vers Essaouira pour passer la nuit chez des amis.
Le matin j'étais prêt : massage, déjeuner et la route. En sortant d'Essaouira, il y avait une montée de 7 km, puis j'ai tourné à gauche pour prendre la route côtière, elle était vide, quelques voitures et camions, un seul autocar et un seul bus durant tout le trajet. Le paysage était superbe, j'ai roulé doucement, il n'y avait pas de grandes montées, il y avait un peu de vent du Nord-Est qui me gênait.
A Khèmis Oulad El-hadj ; j'ai pris mon déjeuner puis je me suis reposé un peu, après j'ai pris la route.Je suis arrivé à Souira kadima vers 15 h et il me restait 33 km jusqu'à Safi alors, j'ai décidé de m'arrêter et de prendre un taxi, car le soleil va se coucher vers 17h30 min (c'était l'hiver) et personnellement, je ne pouvais pas prendre de risque et rouler jusqu'à Safi en ignorant totalement l'état de la route, sans savoir s'il y avait des montées ou pas, et en plus, il y avait le vent qui me contrariait depuis midi et il me faut toujours 2h de plus comme (réserve) dans le cas où il y aurait une panne.
2eme jour : Safi – Talmest 75km.
Ça; c'était pas une rivière mais une flaque d'eau
près de la route entre Safi et Sebte Gzoula.
En me réveillant le matin, j'ai regardé le ciel, il était gris alors, j'ai décidé de rouler, et s'il commençait à pleuvoir, je m'arrêterais. Je suis sorti de Safi vers Sebte des Gzoula à 27 km pour prendre ensuite la route nationale N° 1.
À Sebte des Gzoula, j'ai fait une pause en regardant toujours le ciel. En sortant De Sebte Gzoula, il n'y avait pas de grande difficulté; des petites montées et des descentes, mais il y avait du vent très fort, cette fois du Sud-Ouest qui me gênait. À 10 km de Talmest, il y avait une grande descente jusqu'à l'Oued Tensift puis une montée.
A Talmest, j'ai fait une autre pause et à ce moment même des gouttes d'eau ont commencé à tomber alors, j'ai décidé de mettre fin à cette sortie et de prendre l'autocar vers Essaouira.
A Essaouira, j'ai passé la nuit chez mes amis et le matin j'ai pris la route vers Smimou.
Le ciel était gris.
Cette sortie ne s'est pas bien terminée, mais elle a été très utile pour l'organisation de mes prochains voyages sur tous les plans: connaître la distance exacte qui séparait deux villes, connaître l'état de la route; s'il y avait des montées ou pas, savoir s'il y avait des stations de repos, des cafés, des magasins pour acheter de la nourriture et de l'eau. J'ai acheté une carte routière du Maroc et le livre "Routard" sur le Maroc... Ça, c'était pour la route. Et pour les conditions météorologiques j'ai acheté un imperméable. Et pour les vêtements sportifs j'ai acheté un cuissard, un maillot de cyclisme, des gants et des collants contre le froid ... Et pour ma BMW des matériels de dépannages plus une chaîne, deux chambres à air, des câbles de freins de secours, deux pneus routiers et un compteur pour connaître le nombre de kilomètres que j'avais parcourus et la vitesse moyenne à laquelle je roulais par heure.
Cette fois je devrais être bien préparé et bien armé pour n'importe quelle sortie, c'est-à-dire ne jamais aller vers l'inconnu.
Avec le temps on devient des professionnels et c'est en forgeant qu'on devient forgeron comme dit un proverbe.
Comme les étapes précédentes, le réveil était de bonne heure: petit déjeuner, massage et la route.
En sortant de Sidi Ifni la route était vide,une voiture de temps à l'autre; ici pas d'autocar et les camions étaient assez rares. J'ai roulé doucement jusqu'au village de Nesti où j'ai fait une pause de vingt minutes.
Une pause à El Arba De Mesti .
Toujours de l'eau; il y avait des étapes où j'ai bu plus de cinq bouteilles.
En sortant de Souk El Arba De Mesti, j'ai été rattrapé par un autre FOU DE LA ROUTE; c'était un Anglais qui venait de Londres à vélo; son objectif était d'aller à BAMAKO au Mali. Quel objectif! il faut être un Superman pour faire ça. Ce monsieur était un vrai forçat de la route. En écoutant son projet vraiment fou, je l'ai envié et j'aimerais faire un jour comme lui, aller le plus loin possible, traverser des villes et des pays.
Mais lui, il avait tous les moyens de réaliser ses rêves, car en plus de la volonté et du courage, il faut avoir de l'argent et du temps.
L'argent, c'est le nerf de la guerre et c'est aussi le nerf des voyages. Une seule journée, ça me coûte entre 150 Dh et 200 Dh: hôtel, douche, nourriture, pommade de massage, l'eau minérale, des jus, des chocolats et des biscuits... sans compter les photos et les souvenirs.
J'ai roulé avec lui pendant quelque temps, puis dans une descente après 10 km de Goulimine, il a roulé à toute vitesse.
Moi, j'ai été un peu prudent les mains sur les freins par prudence ou bien par manque d'expérience je ne sais pas, mais il me restait seulement quelques kilomètres pour finir ma première sortie "RIHLA"
"Mieux vaut arriver tard que jamais" comme disent les prudents ou bien les derniers.
Je l'ai rattrapé à la rentrée deGoulimine nous avons bu un jus d'orange puis nous sommes partis prendre un verre de thé.
Après une pause, il a pris la route vers Tan-Tan, moi je suis parti chercher une chambre dans un hôtel.
Le souk des chameaux à la sortie de la ville.
L'après-midi, j'ai visité le souk des chameaux et la vieille ville et le soir je l'ai passé dans un café sur le grand boulevard de la ville, il était plein de véhicules surtout les camions et les autocars qui partaient vers le sud, c'est pour cela qu'on nomme cette ville la porte de Sahara.
C'était la dernière étape dans mon tour; la nuit j'ai bien dormi et le matin je me suis réveillé de bonne heure pour pendre la route avec ma BMW vers Smimou; cette fois dans l'autocar.
Sur le chemin du retour à la maison, j'ai bien pensé à ces 6 jours que j'avais fait avec ma BMW.
Vraiment, cette sortie était un grand exploit pour moi et ça a été le commencement pour d'autres sorties.
La route vers Sidi Ifni est superbe pour les gens qui aiment faire de la randonnée à vélo.
Je suis sorti de Tiznit sous la pluie, j'ai roulé doucement. La route était vide; je n'y avais pas rencontré de véhicules sur des dizaines de kilomètres. Les 30 premiers kilomètres, je les ai faits au milieu des arganiers et des oliviers avec chaque fois une petite montée ou bien une descente jusqu'au croisement de cette route avec celle de la côte qui reliait Aglou à Sidi Ifni.
Seul sur la route avec ma BMW et mon appareil photographique.
La plage de Mirleft est son fameux roché au milieu .
À Mirhleft, j'ai fait une pause de quinze minutes dans un café puis j'ai visité la plage près du marabout SIDI ABDE ALLAH, c'était la plus jolie plage de cette côte.
De Mirhleft à Sidi Ifni le paysage était superbe avec des plages sauvages l'une près de l'autre.
Les plages d'ici et du nord du Maroc avaient des noms espagnole à cause de l'occupation.
Cette photo, je l'ai prise en entrant à Sidi Ifni.
C'est une belle photo avec une belle vue sur la l'océan.
C'est une ville d'aspect typiquement espagnole.
Jolie petite ville ! elle mérite d'autres visite.
Elle a été restituée au Maroc par l'Espagne en 1969.
Ces trois photos en dessus, je les ai achetées dans un studio.
Ce 4éme jour j'ai décidé de rester à Tiznit ; le matin j'ai visité la plage de Sidi Moussa D'Aglou à 18km de TIZNIT et l'après-midi j'ai visité la médina et ses boutiques de bijoutiers.
A La Plage De Sidi Moussa D'Aglou entrain de lire "le malentendu" d'ALBERT CAMUS.
Sidi Moussa D'Aglou à 18 km de la ville de Tiznit.
Au centre de Tiznit avec ma BMW près de la grande muraille.
Je me suis réveillé de bonne heure, j'ai pris mon petit-déjeuner dans le café de l'hôtel puis j'ai pris la route vers Tiznit la vraie capitale de Sous.
Au kilomètre 5, j'ai traversé le village de Ait Melloul puis j'ai roulé doucement pendant 40km jusqu'à un petit village (Je ne me rappelle pas du nom) où j'ai fait une escale dans un café, j'ai pris un verre de lait chaud et j'ai mis un morceau du chocolat dedans. (C'est ma spécialité)
Après quelques minutes de repos, j'ai repris la route, elle était monotone ; rien à voir et en plus elle est très fréquentée par les véhicules surtout les camions (poids lourds) qui partaient vers le sud, j'avais peur et j'ai été très pressé d'arriver à Tiznit; c'est pour cette raison que je n'ai pas pris de photos sur cette route.
En arrivant à Tiznit, j'ai téléphoné à un ami à Kénitra pour lui dire que je venais de rentrer à Tiznit à vélo.
Je me suis réveillé de bonne heure, les jambes trop lourdes (les jambes de bois). J'ai marché au bord de la mer en faisant des mouvements, après je suis monté au centre du village pour prendre mon petit-déjeuner et vers 9 h je suis retourné dans ma chambre pour prendre mes affaires et faire sortir ma BMW.
Avec le pédalage mes jambes ont commencé à retrouver le rythme, j'ai roulé doucement jusqu'à Agadir.
La route était très facile, après 5 km je suis passé à côté du village de Ait Ourir; en sortant du village il y avait une petite montée puis une descente jusqu'à Anza, le fameux village avec son usine de ciment, une vraie catastrophe écologique pour toute la région.
En sortant de Anza, la route devient très large jusqu'à Agadir.
A Agadir , sur le plus grand plateau "KASSERIYA" qui a servi pour la préparation du plus grand couscous au monde.
Sur la côte d Agadir avec ma BMW.
A Agadir, j'ai passé la mâtinée, j'ai visité la plage et le centre-ville et vers midi, je suis allé au port où j'ai pris mon déjeuner; des poissons frits et par hasard c'est un ancien élève qui m'a servi et il a été bien généreux (THELA FIYA MEZEYNE). Un plateau bien rempli d'une variété de poissons, j'ai mangé un peu et j'ai mis le reste dans le sac du vélo, puis je suis allé dans un café pour boire un jus d'orange et me reposer un peu.
Vers 14h j'ai pris la route de Inezgane où j'ai passé la nuit dans un hôtel près de la gare routière.
Le parcours de mon premier voyage à vélo de Smimou jusqu'a Guelmim; Bab El Sahra "la porte du désert".
Cette sortie je l'avais faite pendant les vacances de la marche verte année scolaire 2001/2002. Je n'avais pas l'intention d'aller plus loin (jusqu'à Goulimine).
En sortant de Smimou j'avais décidé de m'arrêter si j'avais senti de la fatigue mais, heureusement avec de la chance et de la volonté, j'ai pu arriver à Goulimine sain et sauf.
Et cette première sortie a été un vrai exploit pour moi.
Premier jour : Smimou-Tarhazoute 118 km.
Je me rappelle bien de ce jour, c'était un dimanche,je me suis réveillé vers 6h du matin, j'ai pris mon petit déjeuner: un verre de thé, du pain et une omelette puis j'ai rangé mes affaires dans le sac de bagages: de l'eau, des biscuits, un jus de fruits plus mes vêtements de rechange et je suis sorti de ma maison. Vers où ? je ne sais pas, car j'avais encore des doutes sur mes capacités de faire plus de 100 km.
En sortant de la maison la première chose que j'avais vu "Agadir 132 Km". Près de ma maison, il y avait une plaque qui indiquait le nombre de kilomètres qui restait pour la ville d'Agadir. (Je n'avais jamais fait attention à cette plaque). En lisant ça, j'avais très peur.
Dans la montée de Taboggan entre Sidi Belkacem et Ait Tamri.
Les premiers kilomètres se sont bien passés, j'ai roulé jusqu'à Tamanar, la capitale de l'arganier, à 30 km de Smimou où j'ai pris un yaourt avec du gâteau puis j'ai pris la route, en pensant toujours au changement du programme si je sentais de la fatigue, heureusement tout allait bien, les jambes et la tête. Après le village de SidiBelkacem j'ai rencontré la première difficulté de cette étape: c'était la montée de Taboggan. J'ai roulé doucement jusqu'au sommet (elle est plus facile dans cette direction vers Agadir que de l'inverse, vers Essaouira). Après le sommet, il y avait une descente très dangereuse de plus de 3 km, puis il y avait un faux plat montant de 10 Km jusqu'à Tamari.
les plantations de bananiers près de l'oued d'Ait tamri.
A Ait tamri, j'ai pris mon déjeuner, puis j'ai fait ma prière du Dohre et je me suis reposé un petit peu. Vers 14 h j'ai pris la route un peu fatigué, mais la splendeur du paysage au bord de la route m'a donné du courage. De Ait tamri jusqu'à Taghazoute, il y avait deux choses: des virages et rivages. Des plages sauvages extraordinaires, l'une près de l'autre. Je me suis arrêté plusieurs fois pour voir ces magnifiques plages et respirer un petit peu. Pour la route pas de problème; des petites montées puis des descentes avec des dizaines de virages.
Je suis arrivé à Taghazoute un peu épuisé mais heureux ! La première chose que j'avais faite en arrivant, c'était de trouver une chambre à l'hôtel, mais les hôtels ici sont trop chers, même s'ils n'ont pas d'étoiles à cause des touristes.
Par chance j'ai trouvé un Semessar (Courtier). Ils étaient nombreux dans ce village, on les trouvait dans les cafés et près des stations des taxis et de bus. Ce Semessar m'a dit "Est-ce -que tu veux une chambre près de la plage ou bien sur la colline là-haut " je lui ai dit "Moi je veux dormir pas plus". Il m'a trouvé une chambre de misère avec vue sur mer 50 dh la nuit.
Taghazoute près de la chambre que j'avais loué avec 50dh.
Dans la chambre, j'ai rangé mes affaires et j'ai pris une douche puis j'ai lavé mes sous-vêtements et je me suis reposé un petit peu. Après une heure, je suis sorti pour faire un tour dans le village et manger quelque chose et faire mes prières à la mosquée. Je suis rentré à la chambre vers 20h pour dormir.
En Europe et surtout dans les pays ou le vélo est bien respecté (France, Italie, Hollande, Belgique, L'Allemagne, Suisse) on surnomme le vélo (la bicyclette) la reine de la route!
Et C'est vrai! Avec le vélo je pars et je m'arrête quand je veux. Partout, où je me plais, je reste. Quand je m'ennuie, je m'en vais. Je ne dépends pas des horaires. Je n'ai pas besoin de choisir des chemins tout faits où des routes commodes
Avec le vélo c'est deux coups avec une seule pierre : sport et voyage.
Après mon affectation à l'école sidibouskri commune de smimou province d'éssaouira et après avoir vu toutes les régions de cette commune (Kiyadat) surtout les plages sauvages de Tafdna, SidiAhmadeSaih, SidiKawki ... J'ai décidé d'acheter un vélo, car le transport commun est très rare ou bien inexistant pour ces plages-là.
Vélo N 1
Voici mon premier vélo (victory) made in morocco je l'ai acheté à Essaouira avec 1500DH une vraie somme ! Mais malheureusement le vélo était d'une qualité médiocre et très lourd aussi. Alors, j'ai décidé de le revendre.
Vélo N 2
Pendant mes vacances de l'été à kénitra, j'ai trouvé un vélo superbe, une vraie princesse ! Et je suis tombé amoureux de la première vue alors j'ai décidé de l'acheter. Heureusement j'ai trouvé un arrangement avec le vendeur (un voisin) je lui avais donné mon ancien vélo plus 1200DH et j'étais très satisfait de cet échange.
Ce deuxième vélo est un DECATHLON made in France, le pays du plus grand tour cycliste. Ce vélo était extraordinaire ; très léger et très robuste, il a été pendant sept ans ma princesse! Avec ce vélo, j'ai fait la plus part de mes grands tours (sorties), il ne m'a jamais laissé en panne mais, malheureusement après cinq ans de loyale service, il a commencé à (vieillir), j'ai essayé part tous les moyens de le sauver mais, malheureusement les pièces de rechange d'origine sont rare ici au Maroc.
Vélo N 3
J'ai commencé à aimer le vélo en regardant LE TOUR DE FRANCE. C'est pour ce là que j'avais décidé d'acheter un vélo de course, pas pour faire des courses mais, pour le plaisir, pour connaître la joie et la souffrance de ces grands champions! Et ce vélo je l'avais acheté à kénitra avec 5000 DH pendant la fête de L'AID LAKBIR. Ce jour-là, ma mère m'a dit "nasskatchirihaouliountaradicherrily becheklita walynintahemk". "Les gens achètent des moutons et toi un vélo, mais vous êtes fou!"
Ce troisième vélo est un "BATAVUS" made in hollande; le pays du vélo, c'est le seul pays au monde où on construit des routes spéciales pour les cyclistes. Ce vélo est fabriqué en aluminium; cadre, jantes, rayons, freins. Je l'utilise seulement dans la région de Smimou et surtout sur la route nationale N01; de Smimou vers Essaouira ou bien de Smimou vers Agadir pour les trajets de 40 et 60 km.
Vélo N4
Mon quatrième vélo (j'éspere qu'il ne sera pas le dernier) est un BH made in USA je l'avais acheté à kénitra par l'échange de mon deuxième vélo (DECATHLON) plus 1300 DH. Pour moi, c'était une bonne affaire, car comme je l'avais dit mon "DECATHLON" (ma petite princesse blonde) a commencé à vieillir, alors j'ai décidé de trouver une autre PRINCESSE, car je ne peux vivre sans vélo.
Après plusieurs recherches, j'ai trouvé ce "BH" (avec le temps, il est devenu ma petite princesse noire). C'est un superbe vélo fabriqué en aluminium dans l'Etat de NEVADA USA.
Mes Petites Reines.
smimou9@gmail.com
Situé à la pointe Nord-Ouest du continent africain, le Maroc dispose de deux façades maritimes, sur l’océan Atlantique (à l’Ouest) et la Méditerranée (au Nord). 15 Km séparent le Maroc de l’Europe. Il dispose de 3400 km de côtes maritimes sur une superficie globale de 710 850 km. La région centrale s’ouvre largement sur l’Atlantique et se compose d’un ensemble de plaines fertiles et de plateaux encadrés par deux imposantes chaînes montagneuses, le Rif (au Nord), et l’Atlas (à l’est et au Sud). Au-delà des montagnes, s’étalent les steppes orientales de l’Anti-Atlas et le désert du Sahara Occidental. L’ouverture sur le monde extérieur est un trait dominant de l’histoire du Royaume. Terre de rencontre et de brassage entre civilisations. Le Maroc a été la zone de convergence des Romains, des Byzantins, des Phéniciens et des Arabo-Musulmans. De part sa position, le Maroc est un carrefour entre l’Europe et l’Afrique, entre le monde atlantique et l’univers méditerranéen, entre les civilisations chrétienne et islamique. Le visage souvent insolite du Maroc rural, complété par celui d’un Maroc citadin empreint d’un grand raffinement, confère à ce pays qui, loin d’être artificiel, reste toujours vivace et permanent.
Derrière moi sur la photo, c'est le serpent de Dades. C'est comme ça qu'on nomme cette route entre Boumalne-Dades et les gorges de Dades.
Au sommet du col de Tizi n'Tichka. C'est le col le plus célèbre du Maroc, il se trouve dans l'Haut Atlas entre la ville de Marrakech et Ouarzazate.
Près du mausolée Mohamed V pendant mon voyage entre Rommani et Kénitra.
Je suis près du Barrage de Bine el Ouidane entre Azilal et Beni Mellal après une nuit passée aux cascades d'Ouzoude.
Je suis en route vers Guelmim (La porte du Sahara) à quelques kilomètres du village de Bou Izarken, après avoir quitté Ifrane de l'Anti-Atlas le matin.
Je suis entre Marrakech et Demnate, pendant mon voyage vers Kénitra par le centre du Maroc.
Source Aïn El Ati. Cette source, découverte en 1987, fait jaillir un jet d'eau qui s’élève sur plusieurs mètres. Située sur la rive droite de l'Oued Zize à 25 km de la ville d'Erfoud.
Près du Tunnel du légionnaire entre la ville de Rich et la ville d'Errachidia, il était creusé par les légionnaires entre juin 1927 et mars 1928.
J'ai quitté Tafraoute le matin pour aller à Tiznit, mais sur la route j'ai changé le programme et j'ai pris la route vers Ifrane de l'Anti-Atlas pour aller ensuite à Guelmim.
Entre Ighrem et Tata au milieu de nulle part.
Les gorges du Dadès sont des gorges situées dans la haute vallée du Dadès entre les localités de Boumalne Dadès et Msemrir.
Le matin en quittant la ville Taroudante pour aller à la ville d'Ighrem; une ville à 1974 m d'altitude.
Pour aller à Tata, il y a deux choses; une montée jusqu'à Ighrem puis une descente jusqu'à Tata avec une égalité parfaite sur le nombre de kilomètres; 80 km pour la montée et le même nombre de kilométrages pour la descente.
Ouarzazate n'est pas loin! Il faut seulement pédaler encore et encore sous un soleil de plomb.
Sur le plateau, qui a servi pour préparer le plus grand couscous du monde à Agadir en 1987 et qui a été supervisé par feu Abderrahim Bargach. Clique ici pour voir mon voyage vers Guelimim par Agadir.
Je suis en route vers la ville de Sidi Ifni en passant par le village de pêcheurs de Mirleft. Pour voir toutes les étapes de mon voyage vers Guelimim par la ville de Sidi Ifni. Cliquez ici
La source Aïn Asserdoun (la source du mulet). C'est la plus grande source de Beni Mellal. Elle se situe au pied du mont Tassemit (2247m).
Pendant les vacances d'avril 2003, j'ai été en route vers la ville de Laâyoune mais, à mi-chemin entre Goulimine et Tan Tan j'ai décidé d'arrêter à cause de la pluie et du vent du Sud-Ouest très très fort; une vraie tempête.
Cher visiteur si vous avez des suggestions ou bien des remarques sur la forme ou bien sur le contenu de ce blog; n'hésitez pas un seul instant à me contacter et merci bien pour votre visite.
Situé à la pointe Nord-Ouest du continent africain, le Maroc dispose de deux façades maritimes, sur l’océan Atlantique (à l’Ouest) et la Méditerranée (au Nord). 15 Km séparent le Maroc de l’Europe. Il dispose de 3400 km de côtes maritimes sur une superficie globale de 710 850 km. La région centrale s’ouvre largement sur l’Atlantique et se compose d’un ensemble de plaines fertiles et de plateaux encadrés par deux imposantes chaînes montagneuses, le Rif (au Nord), et l’Atlas (à l’est et au Sud). Au-delà des montagnes, s’étalent les steppes orientales de l’Anti-Atlas et le désert du Sahara Occidental. L’ouverture sur le monde extérieur est un trait dominant de l’histoire du Royaume. Terre de rencontre et de brassage entre civilisations. Le Maroc a été la zone de convergence des Romains, des Byzantins, des Phéniciens et des Arabo-Musulmans. De part sa position, le Maroc est un carrefour entre l’Europe et l’Afrique, entre le monde atlantique et l’univers méditerranéen, entre les civilisations chrétienne et islamique. Le visage souvent insolite du Maroc rural, complété par celui d’un Maroc citadin empreint d’un grand raffinement, confère à ce pays qui, loin d’être artificiel, reste toujours vivace et permanent.
Je suis près du Barrage de Bine el Ouidane entre Azilal et Beni Mellal après une nuit passée aux cascades d'Ouzoude.
Je suis en route vers Guelmim (La porte du Sahara) à quelques kilomètres du village de Bou Izarken, après avoir quitté Ifrane de l'Anti-Atlas le matin.
Je suis entre Marrakech et Demnate, pendant mon voyage vers Kénitra par le centre du Maroc.
Source Aïn El Ati. Cette source, découverte en 1987, fait jaillir un jet d'eau qui s’élève sur plusieurs mètres. Située sur la rive droite de l'Oued Zize à 25 km de la ville d'Erfoud.
J'ai quitté Tafraoute le matin pour aller à Tiznit, mais sur la route j'ai changé le programme et j'ai pris la route vers Ifrane de l'Anti-Atlas pour aller ensuite à Guelmim.
Pour aller à Tata de la ville de Taroudant, il y a deux choses; une montée jusqu'à Ighrem puis une descente jusqu'à Tata avec une égalité parfaite sur le nombre de kilomètres; 80 km pour la montée et le même nombre de kilométrages pour la descente.
Sur le plateau, qui a servi pour préparer le plus grand couscous du monde à Agadir en 1987 et qui a été supervisé par feu Abderrahim Bargach. Clique ici pour voir mon voyage vers Guelimim par Agadir.
Je suis en route vers la ville de Sidi Ifni en passant par le village de pêcheurs de Mirleft. Pour voir toutes les étapes de mon voyage vers Guelimim par la ville de Sidi Ifni. Cliquez ici
La source Aïn Asserdoun (la source du mulet). C'est la plus grande source de Beni Mellal. Elle se situe au pied du mont Tassemit (2247m).
Pendant les vacances d'avril 2003, j'ai été en route vers la ville de Laâyoune mais, à mi-chemin entre Goulimine et Tan Tan j'ai décidé d'arrêter à cause de la pluie et du vent du Sud-Ouest très très fort; une vraie tempête.
Cher visiteur si vous avez des suggestions ou bien des remarques sur la forme ou bien sur le contenu de ce blog; n'hésitez pas un seul instant à me contacter et merci bien pour votre visite.